Les installations récentes de Grace Ellen Barkey sont une recherche sur la transposition d’un espace vers un rétrécissement et invitent le spectateur à faire partie de l’œuvre sensorielle. Elle collectionne, filme et photographie des fleurs et des feuilles de son jardin de ville bruxellois et des alentours et crée « un regard claustrophobique sur l’idée que l’humain est mortel et que la nature est éternelle. La beauté n’est belle que quand elle est éphémère. Ce n’est qu’alors qu’elle acquiert une histoire.»

Pour cet installation Barkey part de la perspective de Bambi. Pouvons-nous encore regarder la nature avec innocence?